Une partie de l'étude d'impact socio-économique de 2017 de PricewaterhouseCoopers s'est concentrée sur les effets économiques et la création de pôles de haute technologie.
Sur le plan géographique, l'essentiel de l'impact pendant la construction se situe à l'international (64% de l'impact total), tandis que la Belgique bénéficie de 36% de l'impact total. Cela correspond à la décision du gouvernement belge de financer 40 % du projet, ouvrant le solde aux pays partenaires internationaux intéressés.
Sur le plan sectoriel, le secteur « activités d'architecture et d'ingénierie ; essais et analyses techniques » est celui qui bénéficie le plus de la construction de MYRRHA, avec 65% des bénéfices totaux.
A partir de l'exploitation de la Phase 1 (linac jusqu'à 100 MeV), l'activité économique comprendra :